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Le tourisme d’affaires, grand oublié des assouplissements, déplorent les hôteliers

Photo: Pixabay
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Les hôteliers de la région de Québec réclament les mêmes assouplissements que ceux accordés pour les salles de spectacles, les cinémas et les amphithéâtres. Ils craignent que le tourisme d’affaires, une part importante de leurs revenus, ait été oublié par le gouvernement Legault.

À compter du 7 février prochain, les salles de spectacles, les cinémas et les amphithéâtres pourront rouvrir avec une capacité d'accueil limitée à 50 % et un maximum de 500 spectateurs.

L'Association hôtelière de la région de Québec (AHRQ) salue cette nouvelle mesure, tout comme la réouverture des restaurants. Son directeur général s’explique mal, par contre, ce qui peut justifier que les réunions d’affaires soient toujours interdites dans les hôtels. 

Il y voit une certaine incohérence dans les décisions du gouvernement Legault.

On a de la misère un peu à comprendre pourquoi on peut avoir des rassemblements de 500 personnes, mais qu'on ne peut pas tenir des rencontres de travail dans les hôtels, où il n'y a jamais eu d'éclosion et que les mesures sanitaires sont respectées, affirme André Roy.

Pertes importantes

L’industrie touristique est durement affectée depuis le début de la pandémie. Les revenus de plusieurs entreprises ont chuté. 

On comprend très bien que le gouvernement doit doser et y aller mollo, comme dirait notre premier ministre. Mais ce qu'on souhaite, c'est de ne pas être oubliés. L'industrie touristique a été la première touchée par la pandémie et sera probablement la dernière à s'en sortir, martèle André Roy.

Pour bien des hôtels, le tourisme d’affaires représente une part importante des revenus, spécialement en hiver. 

Pour lire l'article complet: Radio-Canada

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