Fermeture du Centre de villégiature du Lac Carling
Les employés
du Centre villégiature du Lac Carling, situé à Brownsburg-Chatam dans
les Laurentides, se sont retrouvés abruptement à la rue, la veille du
long congé de Fête nationale des Patriotes.
« Vendredi, on a appris que les réservations pour la fin de semaine étaient annulées et que les employés du chiffre de soir ne rentraient pas au travail. À 16 heures, je vous dirais que tout le monde était sorti. Un avis d’éviction a été émis pour ce mardi matin », indique Stéphane Léveillé, vice-président du syndicat local, affilié à l'Union des employés et employées de service, local 800 (UES 800-FTQ).
Les employés ont manifesté devant l’établissement, mardi matin, pour témoigner de leur colère contre cette « fermeture sauvage ».
« Il y a des employés qui n’ont pas été payés depuis un mois. Les chèques de paye du 9 mai ont rebondi pour presque tout le monde. La dernière paye n’est pas rentrée, on n’a pas reçu notre 4%, pas de préavis, pas d’explications. On a seulement nos relevés d’emploi. »
Visiblement abasourdi par les événements, M. Léveillé indique être actuellement en train d’évaluer les recours possibles. « Le long congé a compliqué les démarches. Comme ce n’est ni une grève ni un lock-out, il n’y a pas de fonds d’aide pour les travailleurs. Nous sommes en mode action à ce moment-ci et nous évaluons nos options. »
Le dirigeant syndical soutient que les problèmes reliés aux chèques de paye étaient fréquents depuis un an. « Les payes, c’est souvent compliqué. Mais ils finissaient toujours par payer. »
Pour en savoir plus | http://www.lautjournal.info
« Vendredi, on a appris que les réservations pour la fin de semaine étaient annulées et que les employés du chiffre de soir ne rentraient pas au travail. À 16 heures, je vous dirais que tout le monde était sorti. Un avis d’éviction a été émis pour ce mardi matin », indique Stéphane Léveillé, vice-président du syndicat local, affilié à l'Union des employés et employées de service, local 800 (UES 800-FTQ).
Les employés ont manifesté devant l’établissement, mardi matin, pour témoigner de leur colère contre cette « fermeture sauvage ».
« Il y a des employés qui n’ont pas été payés depuis un mois. Les chèques de paye du 9 mai ont rebondi pour presque tout le monde. La dernière paye n’est pas rentrée, on n’a pas reçu notre 4%, pas de préavis, pas d’explications. On a seulement nos relevés d’emploi. »
Visiblement abasourdi par les événements, M. Léveillé indique être actuellement en train d’évaluer les recours possibles. « Le long congé a compliqué les démarches. Comme ce n’est ni une grève ni un lock-out, il n’y a pas de fonds d’aide pour les travailleurs. Nous sommes en mode action à ce moment-ci et nous évaluons nos options. »
Le dirigeant syndical soutient que les problèmes reliés aux chèques de paye étaient fréquents depuis un an. « Les payes, c’est souvent compliqué. Mais ils finissaient toujours par payer. »
Pour en savoir plus | http://www.lautjournal.info