Le marketing de soi, un concept de générosité

On dit que le meilleur marketing est celui qui n’apparait pas comme du marketing. Petit frère du marketing, le « marketing de soi » ou « branding personnel » suit inévitablement la même prémisse.
Donner sans chercher à recevoir
J’ai été très inspiré par l’article « Vous n’avez rien à dire? Taisez-vous » d’Arnaud Granata sur Infopresse qui nous indique (en citant une entrevue réalisée entre Seth Godin et Contently), que le contenu ne devrait dissimuler aucun caractère commercial afin de ne pas nuire à son authenticité.
À l’ère des médias sociaux, le contenu est intimement lié au concept de marketing de soi. Il y a donc un message d’une importance capitale à décoder ici pour vous tous, chercheurs d’emploi qui consultez ce blogue.
Allez lire l’article! Puis, revenez ici qu’on en discute un peu si vous le voulez bien…
Ce qu’il faut comprendre
En recherche d’emploi, active ou passive, vous n’avez qu’un objectif : obtenir un nouvel emploi ( « DAHHH! Ça va de soit mon chum! »).
Pour ce faire, certains seront tentés d’utiliser les médias sociaux pour se promouvoir. Les réflexes sont donc les suivants :
• Changer les headlines de ses profils LinkedIn et Twitter pour ajouter la mention « En recherche d’une nouvelle opportunité » (Devriez-vous indiquer le statut « À la recherche d’une nouvelle opportunité » sur LinkedIn?) ;
• Solliciter son réseau via les flux d’actualités à chaque jour ou presque;
• Partager et commenter des contenus sur les meilleures pratiques de recherche d’emploi (Immortaliser son statut de recherche d’emploi sur le Web, un geste fatal)
• Aborder les recruteurs en utilisant le même satané message pour tous (copié-collé);
• Indiquer que l’on recherche un emploi, par exemple, en communication, marketing, gestion de projets, administration, service à la clientèle ou en vente (Le branding personnel exige des compromis et Marketing ou communication, lequel êtes-vous?)
• Etc.
Non, ce ne sont pas les bonnes approches! Ce qu’il faut comprendre, c’est que vous n’êtes pas vraiment utile à quiconque sur le Web en procédant de la sorte. Soyez un peu plus généreux en matière de contenu et les choses s’activeront tranquillement d’elles-mêmes : la crédibilité, la reconnaissance, les collaborations, les opportunités, le gros FUN…!
Êtes-vous celui qui donne, ou celui qui demande?
Simplifions le concept encore davantage, car en réalité, vous n’avez qu’une chose à faire : partager (…ou produire) du contenu destiné au secteur d’activité que vous visez. Point.
Ohh! Mais, attendez un instant! Pas vrai ce que je dis…
Maintenant que j’y pense. Ce n’est pas totalement vrai : vous avez d’autres options que celles-là. En effet, quelques uns d’entre vous sont peut-être moins portés sur la gestion de contenus ou encore, n’y perçoivent aucun intérêt. Ok, pas de problème! Je vous partage une expérience personnelle qui vous inspirera d’une autre manière…
Je me souviens, il y a quelques semaines, d’un bug technique qui s’est abattu sur mon site Web (à cause de @*#% hackers). Du jour au lendemain, il était hors-ligne, à mon plus grand désarroi.
Un de mes chers contacts, qui oeuvre en référencement SEO, m’a envoyé ce courriel :
Donner sans chercher à recevoir
J’ai été très inspiré par l’article « Vous n’avez rien à dire? Taisez-vous » d’Arnaud Granata sur Infopresse qui nous indique (en citant une entrevue réalisée entre Seth Godin et Contently), que le contenu ne devrait dissimuler aucun caractère commercial afin de ne pas nuire à son authenticité.
À l’ère des médias sociaux, le contenu est intimement lié au concept de marketing de soi. Il y a donc un message d’une importance capitale à décoder ici pour vous tous, chercheurs d’emploi qui consultez ce blogue.
Allez lire l’article! Puis, revenez ici qu’on en discute un peu si vous le voulez bien…
Ce qu’il faut comprendre
En recherche d’emploi, active ou passive, vous n’avez qu’un objectif : obtenir un nouvel emploi ( « DAHHH! Ça va de soit mon chum! »).
Pour ce faire, certains seront tentés d’utiliser les médias sociaux pour se promouvoir. Les réflexes sont donc les suivants :
• Changer les headlines de ses profils LinkedIn et Twitter pour ajouter la mention « En recherche d’une nouvelle opportunité » (Devriez-vous indiquer le statut « À la recherche d’une nouvelle opportunité » sur LinkedIn?) ;
• Solliciter son réseau via les flux d’actualités à chaque jour ou presque;
• Partager et commenter des contenus sur les meilleures pratiques de recherche d’emploi (Immortaliser son statut de recherche d’emploi sur le Web, un geste fatal)
• Aborder les recruteurs en utilisant le même satané message pour tous (copié-collé);
• Indiquer que l’on recherche un emploi, par exemple, en communication, marketing, gestion de projets, administration, service à la clientèle ou en vente (Le branding personnel exige des compromis et Marketing ou communication, lequel êtes-vous?)
• Etc.
Non, ce ne sont pas les bonnes approches! Ce qu’il faut comprendre, c’est que vous n’êtes pas vraiment utile à quiconque sur le Web en procédant de la sorte. Soyez un peu plus généreux en matière de contenu et les choses s’activeront tranquillement d’elles-mêmes : la crédibilité, la reconnaissance, les collaborations, les opportunités, le gros FUN…!
Êtes-vous celui qui donne, ou celui qui demande?
Simplifions le concept encore davantage, car en réalité, vous n’avez qu’une chose à faire : partager (…ou produire) du contenu destiné au secteur d’activité que vous visez. Point.
Ohh! Mais, attendez un instant! Pas vrai ce que je dis…
Maintenant que j’y pense. Ce n’est pas totalement vrai : vous avez d’autres options que celles-là. En effet, quelques uns d’entre vous sont peut-être moins portés sur la gestion de contenus ou encore, n’y perçoivent aucun intérêt. Ok, pas de problème! Je vous partage une expérience personnelle qui vous inspirera d’une autre manière…
Je me souviens, il y a quelques semaines, d’un bug technique qui s’est abattu sur mon site Web (à cause de @*#% hackers). Du jour au lendemain, il était hors-ligne, à mon plus grand désarroi.
Un de mes chers contacts, qui oeuvre en référencement SEO, m’a envoyé ce courriel :
« Bonjour Matthieu,
Bon temps des fêtes, j’espère que tu vas bien.J’ai un message de spam qui m’est venu de Google en essayant de visiter ton site aujourd’hui.J’imagine que tu l’avais remarqué et que tu étais peut-être en train de régler le problème. J’espère que ça ira, je ne sais pas bien ce que je peux faire, mais si tu as besoin au moins de discuter du problème ça me fera plaisir d’aider. »
Résultat? Je vais m’en souvenir toute ma vie!
Oui, oui! Je vais recommander ce contact dès que l’occasion se présente. Je vais me plier en quatre s’il a besoin de mon aide. Je vais retweeter ses tweets et partager ses contenus. Je vais faire de lui mon ami, s’il le veut bien!
Pour en savoir plus | oeildurecruteur.ca