Les mercis, ça fait partie de la paye!
La prochaine fois que vous vous pencherez sur le système de rémunération de vos employés, pensez aux remerciements. Ça ne coûte pas grand-chose, mais ça peut rapporter gros.
Une employée à un collègue : «Merci d’avoir offert un bon service à mes clients pendant mon absence. Notre équipe est chanceuse de pouvoir compter sur quelqu’un de ton calibre.» Une vice-présidente à une nouvelle employée : «Tu travailles avec nous depuis quelques mois déjà. Tu prends le temps de vérifier chaque dossier. Grâce à toi, notre base de données est d’excellente qualité.» Voilà le genre de messages qu’on peut lire sur la plateforme de reconnaissance de la BDC.
Cette plateforme fonctionne comme un média social. On peut écrire un mot pour dire merci aux collègues et on peut commenter ou aimer les messages des autres. « Ce type d’outil va chercher l’aspect viral des médias sociaux », souligne Éric Lacroix, directeur Rémunération globale et rendement à la BDC.
Le 15 février, il expliquera comment la reconnaissance peut s’inscrire dans une stratégie de rémunération globale lors d’un webinaire gratuit présenté par Les Événements Les Affaires.
Salaire de base, bonis, avantages sociaux… Les entreprises mettent beaucoup d’accent sur l’aspect financier de la rémunération. Elles sont toutefois moins nombreuses à souligner les accomplissements et les efforts de leur personnel, selon le conférencier. «
Il est pourtant prouvé par les études que la reconnaissance augmente l’engagement et la motivation des employés, indique-t-il. Les remerciements et les félicitations qui proviennent des pairs auraient même un impact positif jusqu’à 50 % plus élevé que la reconnaissance exprimée par les gestionnaires.»
Pas seulement pour les patrons
Les plateformes comme celle qu’utilise la BDC démocratisent en quelque sorte la reconnaissance. «C’est facile de dire merci et tout le monde peut le faire, pas uniquement les gestionnaires, dit Éric Lacroix. Ça devient une responsabilité partagée.» Bien sûr, les gestionnaires peuvent donner le ton en s’en servant et favoriser ainsi son utilisation par l’équipe.
Pour que les gens se l’approprient, il y a tout de même un certain travail de promotion à faire. La BDC, pour sa part, a sensibilisé ses employés à l’importance de la reconnaissance à l’aide de webinaires. Elle diffuse aussi dans son Intranet des bons mots publiés sur la plateforme, ce qui titille la curiosité des employés et les incite à y jeter un coup d’œil.
En savoir plus | lesaffaires.com
Une employée à un collègue : «Merci d’avoir offert un bon service à mes clients pendant mon absence. Notre équipe est chanceuse de pouvoir compter sur quelqu’un de ton calibre.» Une vice-présidente à une nouvelle employée : «Tu travailles avec nous depuis quelques mois déjà. Tu prends le temps de vérifier chaque dossier. Grâce à toi, notre base de données est d’excellente qualité.» Voilà le genre de messages qu’on peut lire sur la plateforme de reconnaissance de la BDC.
Cette plateforme fonctionne comme un média social. On peut écrire un mot pour dire merci aux collègues et on peut commenter ou aimer les messages des autres. « Ce type d’outil va chercher l’aspect viral des médias sociaux », souligne Éric Lacroix, directeur Rémunération globale et rendement à la BDC.
Le 15 février, il expliquera comment la reconnaissance peut s’inscrire dans une stratégie de rémunération globale lors d’un webinaire gratuit présenté par Les Événements Les Affaires.
Salaire de base, bonis, avantages sociaux… Les entreprises mettent beaucoup d’accent sur l’aspect financier de la rémunération. Elles sont toutefois moins nombreuses à souligner les accomplissements et les efforts de leur personnel, selon le conférencier. «
Il est pourtant prouvé par les études que la reconnaissance augmente l’engagement et la motivation des employés, indique-t-il. Les remerciements et les félicitations qui proviennent des pairs auraient même un impact positif jusqu’à 50 % plus élevé que la reconnaissance exprimée par les gestionnaires.»
Pas seulement pour les patrons
Les plateformes comme celle qu’utilise la BDC démocratisent en quelque sorte la reconnaissance. «C’est facile de dire merci et tout le monde peut le faire, pas uniquement les gestionnaires, dit Éric Lacroix. Ça devient une responsabilité partagée.» Bien sûr, les gestionnaires peuvent donner le ton en s’en servant et favoriser ainsi son utilisation par l’équipe.
Pour que les gens se l’approprient, il y a tout de même un certain travail de promotion à faire. La BDC, pour sa part, a sensibilisé ses employés à l’importance de la reconnaissance à l’aide de webinaires. Elle diffuse aussi dans son Intranet des bons mots publiés sur la plateforme, ce qui titille la curiosité des employés et les incite à y jeter un coup d’œil.
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